Nietzsche dans les conférences, communications, causeries...
1905-1906
1905
M. de WITT-GUIZOT
Le devoir d'enseigner
- Conférence prononcée à Nancy pour la Ligue de la liberté d'enseignement, le 9 janvier 1905.
- D'après le compte-rendu publié dans L'enseignement libre, février 1905, p. 98-101.
- A propos des "hommes" et non des "surhommes" dont la Patrie a besoin (p. 101))
- Conférence prononcée à l'Aube sociale, 4 passage Davy, le 11 janvier 1905
- D'après l'annonce publiée dans L'Humanité 11 janvier 1905.
Mme Max REICHE
Das Leben Friedrich Nietzsches
- Conférence prononcée le mercredi 22 février 1905 aux conférences publiques et gratuites de la Sorbonne, 46 rue Saint-Jacques, à 20h45.
- D'après l'annonce publiée dans le Bulletin pour la propagation des langues étrangères en France.
Mme Max REICHE
Friedrich Nietzsche's Werke
- Conférence prononcée le mercredi 22 mars 1905 aux conférences publiques et gratuites de la Sorbonne, 46, rue de Saint-Jacques, à 20h45.
- D'après l'annonce dans le Bulletin de la Société pour la propagation des langues étrangères en France.

-
Communication à l'Académie des sciences morales et politiques lors de la séance du 22 juillet
1905.
- D'après le compte-rendu publié dans Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, 1905, p. 531-532.
- Présentation de son livre avec indication de la responsabilité de Nietzsche dans l'"Amoralisme contemporain".
L. de PULLIGNY
Nietzsche et sa morale
Franz CUMONT
L'astrologie et la magie
- Conférence donnée au Collège de France en 1905
- D'après le chapitre VII de Franz CUMONT, Les religions orientales dans le paganisme romain, Paris, E. Leroux, 2ème édition, 1909, p. 240-289.
- A propos "du "retour éternel des choses" que Nietzsche se glorifiait d'avoir découverte" (p. 262).
- Conférence prononcée en 1905.
- D'après Auguste BUSCON, "Emile Pouvillon et son oeuvre", in Recueil de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne, tome 22, 1906, p. 1-12.
- Mentionne la "dissertation philosophique du professeur Thouverez" (p. 1).
- Conférence donnée à la Société philosophique des étudiants sous la présidence de M. le professeur Thiéry, au début de l'année académique 1905/1906 (Louvain).
- D'après la liste des orateurs et des sujets traités publiée dans la Revue néo-scholastique, vol. 14, n°53, 1907, p.113-114.

- Discussion lors d'une réunion à la Société française de philosophie le 28 décembre 1905.
- D'après V. Jankelevitch, "Deux philosophes de la vie. Bergson, Guyau", in Revue philosophique de la France et de l'étranger, tome XCVII, 1924, p. 402-449.
- A propos de la communication de Georges Dwelshauvers sur l'idée de vie chez Guyau, René Berthelot compare Guyau, Bergson et Nietzsche (p. 402)
1906
Mme MAX REICHE
Frédéric Nietzsche
- Conférence au Collège libre des sciences sociales lundi 12 février à 16h30, 28 rue Serpente.
- D'après l'annonce publiée dans L'Humanité du 12 février 1906.
- D'après l'annonce publiée dans Le Figaro le titre exact est: "Conception aristocratique de l'organisation sociale".
- D'après l'annonce publiée dans Le Radical, 12 février 1906, p. 6.
Mme MAX REICHE
La vie artistique et intellectuelle de Frédéric Nietzsche, son isolement, les particularités de forme et d'expression, son influence
- Conférence au Collège libre des sciences sociales le lundi 19 février1906 à 16h30, 28 rue Serpente.
- D'après l'annonce publiée dans Le Figaro du 19 février 1906, n°50, p. 4.
Mme Max REICHE
Frédéric Nietzsche et le judaïsme

- Conférence prononcée à la Société des études juives le 18 mars 1906.
- D'après "Frédéric Nietzsche et le judaïsme", in Revue des études juives, tome 51, 1906, p. XXV-LIII.
Jules BREITENSTEIN
Une merveilleuse promesse du Christ
- Conférence prononcée en 1906 à Versailles et à Thaon-les-Vosges.
- D'après "Une promesse merveilleuse du Christ", in Foi et Vie, 1906, p. 601-605.
- "Un troisième facteur de l'oubli dans lequel est tombé le Christ se trouve dans ce que j'appellerai le nietzschéisme inconscient de la multitude. Inconscient, parce que nos contemporains n'ont pas lu Nietzsche, mais professent pourtant sa philosophie. Vous la connaissez, c'est ce que son fondateur a nommé lui-même la « transvaluation des valeurs », c'est-à-dire le bouleversement radical de toutes les notions acquises, de tous les axiomes moraux jusqu'à présent admis." (p. 603)