Bibliographie inédite des publications françaises sur Nietzsche 1868-1940

(Laure Verbaere et Donato Longo)

 

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Fernand Divoire (1883-1951)


Ecrivain d'origine belge, naturalisé français en 1912.



DIVOIRE Fernand, « Nord contre Sud », in Nouvelle Revue, tome 30, 15 octobre 1904, p. 454-456.

Dans la « grande tribu des « amoraux » », place « Pierre Louys et avec Nietzsche (un sudiste qui serait passé par l’Université), tous les théoriciens de l’idéal latin » (p. 455).

 

DIVOIRE Fernand, "Les revues", in Les Entretiens idéalistes, 25 janvier 1909, p. 53-56.

 

Signale "la suite de cet Ecce Homo que M. Henri Albert fait à Nietzsche la mauvaise plaisanterie de traduire, les extraits qu'en avaient donnés Lauterbach d'une part et Lichtenberger de l'autre étant fort suffisants pour instruire les lecteurs" (p. 53).

 

DIVOIRE Fernand, "Faut-il devenir Surhomme?", in Les Entretiens idéalistes, 25 février 1909, p. 85-100.

 

DIVOIRE Fernand, Les deux idées : faut-il devenir mage? Eliphas Lévi et Péladan ; Nietzsche le surhomme et le mage ; la doctrine des forts, Paris, H. Falque, 1909, 119 pages, vol. in-16. (Collection Bibliothèque des Entretiens idéalistes)

 

DIVOIRE Fernand, "Les revues", in Les Entretiens idéalistes,  25 mars 1909, p. 164-166.

 

A propos de la discussion entre Louis DumurJules de Gaultier et Georges Batault dans le Mercure de France. Se moque: "Le résultat le plus clair de ces interprétations, discussions et raisonnements au moyen desquels les trois fidèles écartèlent leur dieu, c'est qu'on commence à ne plus rien y comprendre." (p. 164)

 

 

DIVOIRE Fernand, "La dernière ruse de l'homme", in Mercure de France, tome 109, n°408, 16 juin 1914, p. 714-727.

Evoque Nietzsche (p. 715, 718 et 719).